NOTES

 

Cf. « Tout est bien qui finit bien a été deux fois dérangé pour la scène anglaise pendant le dix-huitième siècle: la première fois, par un sieur Pilon, pour Haymarket-Théâtre; la seconde, par Kemble, pour Drury-Lane. » (François-Victor Hugo, tome VI Les Comédies de l'amour, p. 486.)